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Vol.2 février 2012
L'UA rejoint avec enthousiasme le FOCAC
Liu Wei

Cette année, la cinquième conférence ministérielle du Forum sur la coopération Chine-Afrique (FOCAC) se tiendra en Chine. Récemment, l'ambassadeur John Kayode Shinkaiye, directeur de Cabinet au Secrétariat de la Présidence de l'Union Africaine (UA), a confié à notre reporter Liu Wei son point de vue sur le rôle que le FOCAC a joué dans la consolidation des relations sino-africaines, au siège de l'UA à Addis-Abeba, en Ethiopie. Voici le contenu de cet entretien :

CHINAFRIQUE: Depuis la fondation du FOCAC, en particulier depuis le Sommet de Beijing en 2006, les relations de coopération entre la Chine et l'Afrique se sont approfondies. Quel est votre point de vue sur les accomplissements de la coopération bilatérale ?

John Kayode Shinkaiye: L'Afrique est fiancée à la Chine depuis le sommet tenu à Beijing en 2006. Comme vous le savez, un autre forum ministériel a suivi, à Charm El-Sheikh, en Egypte, en 2009. Ce fut un véritable succès et la déclaration qui a suivi a annoncé les importants programmes que la Chine va mettre en place en Afrique.

Début 2011, nous avons eu la réunion des fonctionnaires de haut rang à Hangzhou, et nous sommes arrivés à la conclusion que la Commission de l'UA a joué un rôle dans la consultation régulière entre la Chine et l'Afrique. En réalité, nous avons un processus de consultation régulière entre la présidence de l'UA et le ministère chinois des Affaires étrangères, au moins une fois par an.

La Commission de l'UA a été admise comme membre du FOCAC. Elle était auparavant simple observatrice, mais elle est désormais un membre à part entière et participera aux activités du FOCAC, travaillant en collaboration avec les Etats membres du continent.

En tant que nouveau membre, quel sera le rôle de l'UA ?

Nous espérons qu'au lieu d'être simple observatrice, l'UA participera à toutes les activités du FOCAC. Nous ferons des contributions à l'élaboration et à la mise en œuvre des programmes envisagés par le forum. Nous serons capables de travailler avec les pays africains, spécialement avec les ambassadeurs africains en poste à Beijing, qui travaillent avec la Chine à la mise en application des décisions du FOCAC. Une partie du rôle de la commission est de coordonner les activités des pays africains en fonction de leurs partenariats, et nous espérons travailler avec les pays africains à Beijing pour travailler ensemble au forum.

La construction du Centre de conférences de l'UA, conçu et réalisé par la Chine, sera prochainement achevée à Addis-Abeba. Que pensez-vous de ce projet ?

Je n'ai pas seulement visité ce nouveau bâtiment, j'ai eu également l'honneur d'être le président d'un comité ad hoc de la commission qui travaillait avec les autorités chinoises à l'origine de ce magnifique bâtiment. Mon collègue est le coordinateur général du projet, et nous avons été impliqués dès le début de la construction, depuis les travaux de fondation jusqu'à aujourd'hui. Nous sommes très fiers du travail de la société chinoise chargée du projet et nous sommes reconnaissants au gouvernement chinois.

Nous pensons que c'est une autre étape importante dans la relation entre la Chine et l'Afrique, car c'est le plus grand projet que la Chine a offert à l'Afrique, et c'est pourquoi nous sommes très heureux d'avoir travaillé avec ce pays. Je pense que nous avons travaillé main dans la main avec la Chine du début à la fin. La Chine continuera à collaborer avec nous pour garantir que nous utilisons ce bâtiment dans le but pour lequel il a été construit.

 

Les dix dernières années ont été le théâtre de l'augmentation des échanges culturels entre la Chine et l'Afrique. Comment ces échanges ont-ils été encouragés ?

Je suis convaincu que la culture peut jouer un rôle très important dans la promotion de la relation entre la Chine et l'Afrique. Le niveau de coopération entre nous n'existe pas seulement au niveau gouvernemental. Nous voulons voir cette relation exister entre nos deux peuples. Je pense que cela contribuera grandement à renforcer et approfondir la relation entre l'Afrique et la Chine.

La déclaration de Charm el-Sheikh comportait une section concernant la culture et la coopération entre les peuples, ce qui montre que l'Afrique attache une grande importance aux relations culturelles sino-africaines, puisque c'est un facteur de communication entre eux.

 

 

 

 

 

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