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Vol.3 décembre 2013
Investir en soi-même

Ken Lusaka, Gouverneur de Bungoma

Le système de gouvernance décentralisé du Kenya, destiné à offrir des services, des ressources et un pouvoir plus proche du peuple, s'est développé dans les 47 comtés du pays.

Bungoma, un comté du Kenya, s'affiche comme l'une des zones les plus performantes du pays, selon un récent rapport publié par l'ONG Transparency International. James Musukuya, correspondant de CHINAFRIQUE, s'est entretenu avec Ken Lusaka, gouverneur de Bungoma, sur les succès de la décentralisation et sur les opportunités pour les investisseurs chinois. Voici des extraits de l'entretien :

En quoi pensez-vous que la décentralisation du gouvernement est bonne pour la société ?

Dire qu'elle était attendue depuis longtemps serait un grand euphémisme. En fait, les pays africains sont des pionniers de la décentralisation et l'Afrique du Sud en est un bon exemple.

Au-delà d'apporter des services, des ressources et un pouvoir plus proche des gens, la décentralisation vise également à résoudre les problèmes provoqués par l'exode rural, en particulier chez les jeunes qui recherchent un emploi. Le gouvernement central a conduit à une concentration des principales opportunités d'emploi, dans l'industrie et le gouvernement et les bureaux paraétatiques de la capitale Nairobi, une situation que le système de décentralisation est en train de changer.

Pensez-vous que le rôle de la Chine en Afrique, et en particulier au Kenya, est en train de transformer l'économie du continent?

Les fruits des relations sino-africaines sont évidents. Au Kenya, par exemple, l'ancien président Mwai Kibaki a laissé un fructueux héritage après avoir développé l'économie du pays, non seulement parce qu'il est très doué, mais aussi parce qu'il a su utiliser les relations bilatérales entre le Kenya et la Chine.

Le nouveau président du Kenya, Uhuru Kenyatta, dont le gouvernement est surnommé kusemanakutenda (nous disons et faisons), ne cesse de suivre les traces de Kibaki en s'associant à l'Est, et en particulier à la Chine.

L'affection de Kenyatta pour la Chine ne fait aucun doute, Il y a fait son premier voyage officiel en dehors de l'Afrique en tant que président. J'ai eu le privilège d'être dans son entourage.

Le tourisme faisait-il partie de vos discussions lors de votre visite à Beijing ?

Ce voyage aurait été incomplet sans courtiser les Chinois à venir profiter des riches ressources touristiques du Kenya.

Avant son départ, China Central Television dont le bureau d'Afrique est à Nairobi, a retransmis en direct la migration des gnous, puis a interviewé le président Kenyatta devant la réserve nationale de Masaï Mara.

Outre la spectaculaire migration annuelle des gnous, depuis la réserve nationale de Masaï Mara au Kenya pour celle de Serengeti de la Tanzanie sur la rivière Mara, le Kenya dispose de nombreuses attractions touristiques.

Avec 41 000 touristes chinois passant par l'aéroport international Jomo Kenyatta l'an dernier seulement, il ne peut être nié que le Kenya est en passe de devenir une destination touristique de choix pour la Chine. Selon le ministère kenyan du Tourisme c'est 10,4 % de plus que l'année dernière.

Alors que les faits, les chiffres et les statistiques démontrent l'apport de la Chine à l'économie du Kenya à travers le tourisme, une observation générale montre aussi des perspectives d'avenir prometteuses et plus de touristes chinois au Kenya et sur le continent. Un bon exemple en est que des Chinois ont récemment ouvert un hôtel cinq étoiles à Nairobi, le premier hôtel chinois du genre en Afrique.

Quelles sont les possibilités d'investissement clés que Bungoma offre aux investisseurs chinois?

Un comté peut-il se développer sans s'ouvrir aux investisseurs?

Les opportunités d'investissement à Bungoma abondent dans les secteurs de la communication et des TIC, du tourisme, de l'immobilier, du commerce, de l'industrie et de la banque. Dans le secteur agricole par exemple, il existe un fort potentiel inexploité.

Nous allons fournir aux investisseurs chinois un soutien pour créer des entreprises. Nous aurons deux ateliers d'investissement majeurs, l'un en Chine et l'autre à Bungoma, pour attirer les investisseurs chinois et dresser la liste des possibilités d'investissement ainsi que de fournir des informations essentielles.

(Reportage du Kenya)

 

 

 

 

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