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Le plus grand fonds d'actions privé de Chine spécialisé dans l'investissement en Afrique accroît sa présence sur le continent
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Vol. octobre 2011
Encore une belle réussite
La société chinoise Huawei Technologies montre l'exemple au Cameroun en s'adaptant aux conditions locales
Yan Weijuan

 

Huawei attache la plus grande importance à contribuer au bien-être de la société locale autrement qu'en employant des Camerounais. En 2006, quand son chiffre d'affaires était de zéro, Huawei a donné 4 000 livres à une fondation pour les enfants victimes du VIH/SIDA. En 2007, elle a fait don de 50 ordinateurs à une école locale, et en 2009, elle a fondé une école primaire en partenariat avec MTN. Cette année, Huawei Cameroun a fait don à la Fondation Chantal Biya d'équipements de premiers soins pour une valeur de 50 000 dollars. En outre, elle a fréquemment sponsorisé des matches de football avec ses partenaires en affaires.

Nous sommes très optimistes à propos du Cameroun et de nos perspectives de développement sur tout le continent africain. Nous espérons non seulement réussir ici, mais également être à la hauteur de notre responsabilité sociale », conclu Shi.

 

 

S'adapter à la réalité

Shi Weiliang et ses collègues chinois vivent dans un immeuble de cinq étages à Yaoundé, la capitale camerounaise. Sa femme a démissionné récemment de son travail en Chine et est venue le rejoindre à Yaoundé avec leur fils âgé de deux ans. Il y a beaucoup de familles comme celle de Shi dans l'immeuble.

« Le problème le plus important auquel sont confrontés mes collègues chinois est la solitude. Nombreux sont ceux qui sont loin de leur famille et de leurs amis », explique Shi, et comme la sécurité publique est un problème, le personnel chinois va rarement dehors la nuit. Parfois, il organise un dîner entre amis au restaurant chinois.

Shi et ses collègues aiment le sport. « À cause des hordes de moustiques dehors, nous devons rester en forme pour nous prémunir contre la malaria », explique-t-il. Le bâtiment dans lequel ils habitent a une salle de billard et un terrain de basket, et ils vont régulièrement au stade de la ville et au parcours de golf. On peut souvent voir des Chinois faire du jogging dans les rues de Yaoundé. Un autre phénomène camerounais est que là où il y a des communautés chinoises, il y a des machines à karaoke.

Shi reconnaît qu'il n'est pas simple de faire des affaires au Cameroun, du fait des démarches compliquées d'autorisation à investir, de l'inefficacité de l'administration, de l'environnement financier peu favorable et des infrastructures arriérées. La Société financière internationale (IFC) et la Banque mondiale classent le Cameroun à la 168ème place sur 183 en termes de commodité pour faire des affaires. Malgré tout, le pays comptait 18 sociétés chinoises sur son territoire en 2010, et le volume des affaires entre les deux pays était de plus de 1milliard de dollars.

Shi est convaincu qu'il y a toujours un moyen de surpasser chaque problème rencontré dans la vie ou dans les affaires, et estime que s'il ne peut changer la réalité du Cameroun, il peut s'y adapter.

« Je crois que nous pouvons capitaliser sur nos réussites. Nous insistons également sur la main d'œuvre locale et nous formons les Camerounais à devenir des experts en technologie, ce qui est avantageux

pour les deux parties », conclut-il.

30

à retenir :

âge moyen de la main-d'oeuvre au Cameroun

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