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Vol.2 juin 2013
Modèle de santé en Afrique
Les médicaments chinois ont bien aidé les médecins africains à combattre la malaria
Hou Weili

Le gouvernement chinois a donné des médicaments anti-paludisme à la Tanzanie

Une mère kényane a prénommé sa fille Cotecxin; la raison qui motivait son choix est vite devenue une légende. En 1996, une future maman d'un village près de Kisumu, la capitale du Kenya occidental, fut atteinte de malaria maligne. Si elle avait pris de la quinine, médicament occidental généralement utilisé pour combattre cette maladie, elle aurait probablement survécu, mais aurait fait une fausse couche ou aurait mis au monde un bébé souffrant de graves malformations. La femme devait donc choisir entre sa vie et celle de l'enfant qu'elle portrait. Son médecin lui a prescrit un remède chinois appelé Cotecxin, extrait de l'artémisinine. Elle s'est parfaitement remise et a donné naissance à une fillette parfaitement saine. Comme elle avait déjà perdu deux bébés à cause de la malaria, la mère a choisi pour cette enfant le prénom Cotecxin.

Lu Chunming fut le premier à apporter ce médicament chinois en Afrique. « Pendant mes décennies de travail en Afrique, les médicaments anti-malaria chinois extraits de l'artémisinine ont guéri au moins dix millions de victimes », a dit Lu à CHINAFRIQUE.

Lu a été un des finalistes au Prix de coopération Chine-Afrique 2012. Cette récompense vise à faire connaître les entreprises et les entrepreneurs chinois en Afrique. En 2006, Lu a reçu le Prix de l'Amitié remis par l'Association de l'amitié entre les peuples chinois et africains pour son éminente contribution à l'amitié et à la coopération commerciale.

Dans l'Afrique subsaharienne, la malaria est endémique, et la principale cause de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans. Au début du siècle, l'Organisation mondiale pour la Santé estimait entre 300 et 500 millions le nombre de personnes infectées par cette maladie chaque année dans le monde, l'Afrique représentant 90 % des cas.

Les statistiques récentes de l'organisation montrent qu'environ 216 millions de personnes ont été infectées en 2010, dont 81 % en Afrique.

 

Répandre l'espoir en Afrique

Lu, âgé de 45 ans, ancien directeur général de Holley-Cotec Pharmaceuticals Co. Ltd., à Beijing, a maintenant lancé sa propre entreprise pour la promotion des médicaments anti-malaria. Diplômé en médecine chinoise de l'Université de Beijing en 1993, il a d'abord travaillé comme technicien pour Tongrentang, une usine pharmaceutique fondée sous la dynastie des Qing (1644-1911) pour servir la famille impériale. Quand Lu commença à travailler, Beijing Holley-Cotec Pharmaceuticals venait tout juste d'inventer un médicament anti-malaria à base d'artémisinine brute, et devait promouvoir son nouveau produit. Conscient que cette découverte représentait une réalisation importante pour la médecine chinoise, Lu abandonna son emploi stable et bien rémunéré à Tongrentang, et se rendit au Kenya en 1995 avec un collègue pour  diffuser le nouveau remède à travers le continent africain où la malaria menaçait des millions de vies.

« En Afrique, la malaria n'est pas seulement une question de santé mais aussi un problème social, économique, et parfois politique. Par exemple, les candidats à la présidence promettent toujours de prendre des mesures contre la malaria pour gagner des votes », a dit Lu.

Alors que les promesses électorales demeuraient inaccomplies, l'arrivée de Lu sur le continent vint changer radicalement le taux de mortalité due à la malaria en Afrique.

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