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Vol.2 juin 2013
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L'élargissement de l'offre de services dans le commerce sino-africain devient une priorité
Hou Weili

Des touristes africains en Chine

Une industrie des services modernes

Avec le progrès technologique, les services modernes dans l'énergie, la finance et la communication comptent de plus en plus dans les échanges entre la Chine et l'Afrique. Fin 2012, il y avait plus de 2 000 entreprises chinoises opérant en Afrique. Ces entreprises ont besoin de services financiers plus diversifiés et plus commodes, comme le règlement des transactions transfrontalières en monnaie chinoise.

Yao note que les règlements transfrontaliers en yuan font partie des services bancaires les plus prometteurs pour l'avenir. Actuellement, les échanges commerciaux entre la Chine et l'Afrique sont généralement réglés en dollar américain, ce qui est devenu risqué au vu de la dégradation de la note des États-Unis ces dernières années. « C'est une grande opportunité pour les institutions financières chinoises en Afrique », note Yao.

Selon un rapport publié par la Banque Standard Chartered, les règlements en yuans pour le commerce Chine-Afrique ont atteint 5,7 milliards de dollars en 2012. La banque estime que 20 % du commerce extérieur de la Chine sera réglé en yuans d'ici fin 2015.

Les banques chinoises n'ont pas manqué cette occasion et ont ouvert des succursales sur le continent africain. Fin 2009, les banques chinoises proposaient des services bancaires dans plus de 50 pays africains. En parallèle, les institutions financières africaines ont jeté leur dévolu sur le marché chinois. Fin 2011, six banques de cinq pays africains, dont l'Afrique du Sud, l'Egypte, le Maroc, le Nigeria et le Cameroun, avaient mis en place une succursale et cinq bureaux en Chine.

Plus de supports

L'énorme commerce extérieur de la Chine dans les biens occulte l'ampleur de son commerce dans le secteur des services, et le commerce de la Chine avec l'Afrique ne fait pas exception. « Ceci est en grande partie attribué au sous-développement de l'industrie des services domestiques en Chine », explique Xue Rongjiu, vice-président de la Société chinoise de recherche sur l'Organisation mondiale du commerce. Selon lui, l'industrie des services en Chine joue un rôle relativement modeste dans le PIB chinois par rapport aux autres pays. Les statistiques officielles montrent qu'en 2012, le secteur des services y représentait 44,6 % de son PIB.

« L'industrie chinoise des services doit s'améliorer pour pouvoir s'exporter », a ajouté ce dernier.

Pour promouvoir le commerce des services entre la Chine et l'Afrique, les experts ont également proposé de donner plus de soutien à cette industrie naissante pour permettre à davantage d'entreprises de se lancer en Afrique. « Les services de conseils juridiques et financiers sont également nécessaires pour faciliter l'activité des entreprises chinoises en Afrique », remarque Xue.

La médecine traditionnelle chinoise (MTC) est un bon exemple des problèmes qui entravent l'expansion internationale de certaines entreprises chinoises. En raison des restrictions sur l'exportation des herbes chinoises, cette industrie ne peut pas se développer facilement sur les marchés étrangers, en dépit de son énorme potentiel. « Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de place pour le développement de la MTC en Afrique. Promouvoir les traitements comme le massage et le grattage de la peau, qui ont des effets curatifs sans effets secondaires négatifs, peut être le point de départ de la mondialisation de la médecine traditionnelle chinoise », déclare Zhang Zhen, qui travaille à l'Association chinoise de médecine chinoise et qui demande l'appui du gouvernement pour promouvoir cette science.

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