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Vol.4 novembre 2014
Une mer d’opportunités
La Route de la soie maritime du 21ème siècle présente un énorme potentiel pour la coopération Chine-Afrique en matière de pêche
Hou Weili

Une cause passionnante

« Une base industrielle maritime moderne est en cours de construction sur l'île Langqi, la quatrième plus grande de la province du Fujian avec ses 92 km2 », affirme M. Chen.

« Cette base ne sera pas un simple trait d'union entre les pays qui jalonnent la Route », ajoute-t-il. « Elle abritera un centre logistique de la chaîne du froid, une usine de transformation et un centre commercial pour les produits aquatiques, une station de recherche sur la biologie maritime ainsi qu'un complexe de loisirs. »

Un tel plan transfrontalier couvrant la chaîne industrielle toute entière ne peut être concrétisé sans des soutiens financiers à grande échelle. Heureusement, le secteur privé apporte sa pierre à l'édifice. Il a été annoncé lors de la FICIC de cette année qu'une entreprise d'investissement sino-africaine et un centre de gestion du fonds d'investissements pour la Route avaient été établis.

Huang Jianhui, directeur de ce dernier, affirme qu'avec le capital social estimé à 500 millions de yuans (81,5 millions de dollars), le Centre vise à réunir plus de 100 milliards de yuans (16,3 milliards de dollars) pour financer les projets investis dans les pays africains situés sur la Route.

« Basé sur l'île Langqi, le fonds servira de capital de démarrage. Il vise à établir un lien économique pour faire revivre l'ancien corridor du commerce de la soie et du thé », explique M. Huang.

Mise en valeur

Pour les investisseurs chinois, la perspective de l'investissement dans le secteur en Afrique est assombrie par les restrictions politiques ciblant les entreprises étrangères. Celles-ci restreignent les remises de fonds vers la Chine, freinent le débarquement des équipages chinois et limitent les droits de vente des captures aux entreprises locales.

Ces restrictions s'expliquent par des préoccupations environnementales, telles que la surpêche et l'abus de ressources. « La coopération doit être réciproquement bénéfique », explique M. Huang. « Les sociétés chinoises devraient aider les habitants locaux à développer leur économie maritime à travers le transfert de technologie et souligner l'importance de la protection de l'environnement local. »

En tant qu'entrepreneur, il a pris conscience des responsabilités qu'une entreprise chinoise doit assumer envers les communautés locales. « Nous venons ici pour chercher un développement durable, plutôt qu'un bénéfice à court terme. Nous encourageons la création d'emplois et l'amélioration des moyens d'existence locaux », s'exclame-t-il.

« Pour un grand nombre de pays africains moins développés, la pêche est un moyen efficace pour sortir de la pauvreté », affirme Chen Yonggui. Selon lui, la Chine peut non seulement aider à construire des usines de refroidissement et des chantiers navals, mais aussi introduire des techniques de transformation pour apporter une valeur ajoutée aux produits de la pêche.

En témoigne l'initiative de Mike Liu, un acheteur chinois de concombres de mer au Sénégal. Au cours des dix dernières années passées dans ce pays ouest-africain, il a remarqué l'inefficacité des méthodes traditionnelles de transformation. Il compte donc introduire des techniques de traitement chinoises et travailler en collaboration avec des entreprises locales pour installer des usines spécialisées dans la transformation des concombres de mer en aliments liés aux soins de santé ou en biscuits populaires.

houweili@chinafrica.cn

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