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Vol.4 janvier 2014
Mesures contre les changements climatiques
La dernière réunion des Nations unies sur les changements climatiques n'a pas amené de véritable percée.
Liu Yunyun

« Si ce n'est pas moi, alors qui ? Si ce n'est pas maintenant, alors quand ? Si ce n'est pas ici, alors où? » Su Wei, un des principaux négociateurs chinois sur la question a lancé un appel à l'action sur WeChat, un réseau social internet.

Su est le chef adjoint de la délégation chinoise à la 19e Conférence des parties à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques, et le directeur général de l'unité des changements climatiques de la Commission nationale pour le développement et la réforme. La conférence de 2013 s'est tenue les 11 et 12 novembre à Varsovie, en Pologne.

La conclusion que l'activité humaine est responsable des changements climatiques s'est vue renforcée par le 5e rapport du panel intergouvernemental des Nations unies sur le sujet. L'impact mondial des changements climatiques devient de plus en plus saillant, et pose peut-être le plus grave défi à la planète.

Bien que la communauté internationale ait atteint un consensus absolu sur le fait que le réchauffement de la planète causera d'autres catastrophes naturelles, les débats sur les mesures à prendre n'ont jamais cessé.

À la dernière conférence, le Japon a déclaré qu'il projetait de diminuer les émissions depuis le tremblement de terre suivi d'un tsunami en 2011, évènements qui l'ont forcé à fermer cinquante de ses centrales nucléaires. L'Australie, toutefois, dissidente depuis longtemps dans les pourparlers sur le climat, semble sur le point d'abroger l'impôt sur le carbone et de démanteler tous les projets et institutions climatiques. Su s'est dit déçu à l'annonce faite par ces deux pays ; il a invité les pays à s'unir et à travailler ensemble pour le bien de l'environnement.

Projets principaux

Un des principaux points de discussion de la conférence consistait à demander aux pays développés d'honorer leurs engagements et de fournir l'appui voulu et la technologie de transfert environnemental requise aux pays en développement.

« Le financement est la clé du succès de la conférence de Varsovie », pensent les représentants de haut niveau de BASIC (Brésil, Afrique du Sud, Inde et Chine) au séminaire tenu au pavillon chinois de Varsovie le 20 novembre dernier.

Ils ont prié les pays développés de remplir leurs promesses de fournir 100 milliards de dollars par année aux pays en développement de façon à soutenir leurs efforts de coopération dans les problèmes liés aux changements climatiques entre 2013 et 2020 de manière mesurable et vérifiable.

Tout en empruntant une voie morale dans leur rhétorique climatique, les pays développés hésitent à fournir de l'aide. La crise financière récente a renforcé encore leur résistance, disent les experts chinois.

Tod Stern, envoyé spécial du gouvernement des États-Unis sur les changements climatiques, a dit que, en ce qui concerne le financement offert par les pays développés, son pays voudrait inviter le secteur privé à se joindre aux projets. « Ce pourrait être sous forme de prêt garanti, ou d'une assurance-risque », a dit Stern en conférence de presse à Washington, D.C., le 9 novembre.

En réponse, Xie Zhenhua, chef de la délégation chinoise à la conférence de 2013, a insisté sur le fait que le financement doit venir des gouvernements ou du secteur public plutôt que du secteur privé.

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