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Vol.4 novembre 2014
Un messager de l'amitié

cheng zhigang

Cheng Zhigang, secrétaire général du Forum sur la coopération et le développement des industries sino-africaines, a été élu Président de la Commission africaine de l'OMC Chine et Secrétaire général adjoint de l'Association de recherche de cette même organisation. Cheng Zhigang est en charge des affaires commerciales sino-africaines depuis des années. Pendant son mandat de secrétaire général du Forum sur la coopération et le développement des industries sino-africaines, il a rendu des visites à la plupart des pays africains. Apprécié par les dirigeants du continent, il est appelé « messager de l'amitié sino-africaine ». Récemment, Cheng Zhigang s'est entretenu avec CHINAFRIQUE sur la coopération commerciale sino-africaine et sur son avenir, avant de revenir sur le sens de son élection à l'égard de la promotion du commerce sino-africain.

L'art africain est devenu très populaire auprès des visiteurs chinois sur le continent

Que pensez-vous de votre nouveau titre de « Président de la Commission africaine de l'OMC Chine » ? Quelles mesures détaillées allez-vous prendre après votre prise de poste ?

Cheng Zhigang : Après son entrée à l'OMC, la Chine a rempli ses engagements. En respectant le système commercial multilatéral et ses règles, la Chine a travaillé à la réforme et au développement à travers l'ouverture. Son économie et son commerce extérieur ont ainsi donné lieu à de grandes réalisations. En plus d'être devenue la deuxième économie mondiale, la Chine est un des rares pays à jouir d'une attractivité croissante en matière d'investissement, et son volume d'investissements directs à l'étranger ne cesse également de croître. Dans un contexte de mondialisation économique, la Chine renforcera ses mesures d'ouverture pour établir un système économique ouvert, efficace, sécurisé et équilibré, et atteindre l'objectif du rapport gagnant-gagnant.

L'Association de recherche de l'OMC Chine relève directement du ministère chinois du Commerce et se charge des affaires économiques et commerciales dans le cadre de l'OMC. En tant que président de la Commission africaine de l'OMC Chine, j'ai une lourde responsabilité. L'Afrique est un continent riche possédant une longue histoire d'amitié avec la Chine. La Commission africaine va encourager le commerce et l'investissement vers l'Afrique pour promouvoir la coopération et la communication entre la Chine et le continent. En 2014, des groupes d'experts de la Commission vont rendre visite aux pays africains pour s'entretenir avec les dirigeants locaux. En même temps, le « séminaire de l'OMC Chine sur les affaires commerciales de l'Afrique » se tiendra à la fin de cette année pour soulever les problèmes existants et établir un système de dialogue. De plus, la Commission africaine compte également demander aux experts chinois et africains de rédiger chaque année un Livre jaune sur le commerce et l'investissement en Afrique pour offrir un environnement de développement stable et sain aux entreprises des deux parties.

Quelles réalisations majeures ont vu le jour lors des six années de votre mandat de Secrétaire général du Forum ?

Cheng : En six ans, nous avons organisé la Conférence du Forum sino-africain à trois reprises (une fois tous les deux ans). Plus de 10 milliards de dollars de contrats ont été conclus à travers la plateforme des conférences. J'ai visité la plupart des pays africains et j'ai établi un dialogue avec plus de 40 ambassadeurs africains en Chine pendant ces six ans. J'ai aussi rédigé un livre sur les opportunités de coopération commerciales sino-africaines, qui est beaucoup apprécié par les dirigeants africains.

La Chine est restée le premier partenaire commercial de l'Afrique pendant cinq ans consécutifs. Dans quels domaines les deux parties vont renforcer leur coopération ?

Cheng : Dans trois à cinq ans, la Chine élargira les investissements pour aider l'Afrique à réaliser un développement durable. La priorité porte sur les investissements dans l'infrastructure, l'agriculture, l'internet, l'énergie, le transport, la finance, etc.

Quelles sont les fonctions du centre de services des affaires juridiques africaines du Forum ? Comment fonctionne-il pour offrir des services à l'investissement entre la Chine et l'Afrique ?

Cheng : Le centre de service des affaires juridiques africaines du Forum est la première organisation professionnelle qui intègre des experts et des avocats africains. Il offre des services juridiques gratuits aux ambassades africaines en Chine. Il a offert des services juridiques à plus de 100 entreprises depuis son établissement et a rédigé des documents de références juridiques sur l'orientation d'investissement de plus de 20 pays. Le centre joue un rôle de plus en plus important pour résoudre des différends commerciaux. La plupart des entreprises chinoises ne connaissent pas beaucoup les lois d'investissement des pays africains. Par conséquent, le centre organise de temps en temps des salons et invite des ambassadeurs et des experts africains à présenter l'environnement d'investissement en Afrique.

Selon certains, « la culture des nouilles instantanées écorche la culture coca-cola » en Afrique, c'est-à-dire que l'influence de la Chine y est de plus en plus grande. Qu'en pensez-vous ?

Cheng : Le développement de la Chine en Afrique a changé de nature. Avant, nous exportions principalement des produits vers l'Afrique, mais depuis une vingtaine d'années, la Chine aide l'Afrique à établir des infrastructures du type routes, hôpitaux et écoles, bien accueillies par les Africains.

Au cours des trois dernières années, la croissance du volume du commerce sino-africain a toujours été supérieure à 10 %. À la fin de 2015, le volume atteindra 300 milliards de dollars, ce qui inquiète les pays européens et les États-Unis. La Chine va coopérer avec les autres pays du monde pour promouvoir le développement de l'Afrique sous le principe de rapport gagnant-gagnant. Coca-cola n'a pas besoin de s'inquiéter pour son marché, parce que chaque produit possède sa propre voie de développement. Dans l'Afrique d'aujourd'hui, les nouilles instantanées chinoises sont populaires, c'est un fait économique.

Au cours des dernières années, certains médias occidentaux ont souvent critiqué « l'accaparement des terres » dans le cadre des investissements chinois en Afrique, quel est votre avis sur la question ?

Cheng : C'est normal que le développement des relations sino-africaines cause la jalousie des pays occidentaux. Mais le développement du commerce entre la Chine et l'Afrique est basé sur des efforts inlassables des deux parties. Certains pays occidentaux ne respectent pas les faits et parlent de néocolonialisme. Nous cherchons à réaliser un mode de développement gagnant-gagnant. Pour le moment, les relations sino-africaines sont entrées dans une nouvelle étape, la Chine présente sans cesse des nouveaux produits, techniques et expériences de gestion à l'Afrique. En même temps, nous faisons attention à aider les pays africains à se perfectionner et à développer leurs propres industries.

En tant que chercheur sur les arts chinois et l'économie sino-africaine, comment évaluez-vous le rôle des échanges culturels ?

Cheng : À l'heure actuelle, la Chine a établi plus d'une dizaine d'Instituts Confucius en Afrique, afin de renforcer les échanges culturels sino-africains. La culture est l'âme d'un pays et d'une nation, donc, la compréhension des cultures favorise le renforcement du respect et de l'amitié mutuels.

 

 

 

 

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