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Un plan de réforme ambitieux pour développer le football chinois
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Vol.5 juin 2015
Un footballeur en Chine

La Chine s'est dotée d'un plan de réforme pour développer le secteur du football. Cette réforme concerne les clubs et ligues professionnels, les équipes nationales ainsi que les associations locales. Au cours des dernières années, un grand nombre de joueurs professionnels étrangers sont venus jouer en Chine. Dans une interview exclusive avec CHINAFRIQUE, le joueur ivoirien Davy Claude Angan N'Guessan, qui joue pour le club Greentown à Hangzhou, dans la Super Ligue chinoise, nous parle de son expérience du football en Chine.

CHINAFRIQUE : Pourriez-vous décrire votre expérience du football en Chine ?

Davy Claude Angan : C'est toujours pareil partout. Seule la première année était difficile, puis les deux années suivantes, ça allait mieux. Au début, c'était difficile parce que je devais m'adapter au temps et à l'environnement, qui est très différent de l'environnement dans mon pays natal. C'était aussi difficile à cause de la langue, que je ne comprenais pas.

Maintenant, il n'y a plus de problème. Je comprends le chinois, je me suis habitué au temps, donc tout va bien. À chaque fois qu'on change d'endroit, c'est un peu difficile, il faut un peu de temps pour s'adapter.

Qu'est-ce qui est différent, par rapport aux clubs où vous jouiez auparavant ?

Il n'y a pas de grande différence. La seule différence à laquelle je pense, c'est que dans mon ancien club, on jouait pour le titre, pour le championnat. On devait gagner, on avait des objectifs. Maintenant, je joue pour un club de milieu de tableau. Si nous avons de la chance et que nous arrivons à progresser, c'est bien, mais nous n'avons pas trop d'ambition. La seule ambition est de rester en première division, dans les 10 premiers clubs.

Comment est l'environnement du football en Chine ?

C'est un peu difficile pour un étranger de jouer en Chine, surtout lorsqu'on vient d'arriver. Tout va très vite, nous sommes sous pression. Nous avons plus de pression que les joueurs chinois, parce qu'en Chine ce sont les étrangers qui font la différence. Cela veut dire que nous avons des obligations de résultats, des obligations de performance. Nous devons être à la hauteur. Mais maintenant, ça va pour moi car j'ai gagné la confiance des supporters.

Est-ce que le football en Chine a progressé depuis que vous êtes arrivé ?

ça a déjà progressé et ça progresse encore. Maintenant, la Chine a de très bons stades, elle investit beaucoup dans le football.

À quoi ressemble le milieu du football dans votre ville, à Hangzhou ?

À Hangzhou, nous avons beaucoup de jeunes joueurs, nous les entraînons très bien. Le football à Hangzhou est très professionnel, beaucoup plus que dans mon pays. En Côte d'Ivoire, le football n'est pas très professionnel car nous n'avons pas assez d'argent pour construire des stades et pour entraîner les joueurs. En Chine, c'est le contraire.

Hangzhou est une très bonne ville pour le football, avec de très bonnes installations. Elle peut facilement attirer de bons joueurs.

Nous avons une très bonne équipe. Même si l'entraîneur a changé récemment, l'équipe est toujours la même. Nous nous soutenons et nous avons une très bonne ambiance professionnelle et sportive. J'ai deux collègues tunisiens, un collègue libanais et un brésilien, les autres sont chinois. Nous nous entendons très bien.

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