English 简体中文 Qui sommes-nous

 

 

Accueil | Reportages de Chine | Reportages d’Afrique | Économie | Culture et Société | Services
Poursuivre les réformes de façon stable
La Conférence centrale sur le travail économique donne le ton pour 2013
Numéro actuel
En Une
Table des matières
Regard sur la Chine

 

Abonnez-vous
Éditorial
Courrier des lecteurs
Personnalités à l’affiche
Revue de presse
Pour ou contre
Reportages de Chine
Reportages d’Afrique
Exclusivités
Pays à l’honneur
Actualités africaines
Économie
Brèves économiques
Pratique des affaires
Économètre
Profil d’entreprise
Culture et Société
Regards croisés
Lumières sur
Sciences et Technologies
Services
Vivre en Chine
Foires et expositions
Apprendre le chinois
Universités
Lois et Règlements

 

 

 

Liens
China.org.cn
Xinhuanet
Le Quotidien du Peuple
Radio Chine Internationale
Beijing Information
CCTV fr
China Daily
La Chine au Présent
La Chine Pictorial
China-Africa Cooperation Net
Jeune Afrique

 

Éditorial

 

Newsletter   Actualités en
numérique
  Abonnez-
vous
 
Vol.3 février 2013
Pour des médicaments de qualité

Les récents rapports des médias occidentaux blâmant la Chine pour le flot de médicaments antipaludiques contrefaits envoyés en Afrique ont une nouvelle fois mis en lumière un problème majeur de santé sur ce continent.

Le paludisme reste la principale cause de décès chez les enfants de moins de cinq ans en Afrique subsaharienne, pour un préjudice estimé à 12 milliards de dollars de perte de productivité chaque année.

Les contrefaçons de médicaments antipaludiques provoquent des décès à travers le monde et contribuent à la résistance aux médicaments - menaçant des milliards de personnes. Selon une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), un tiers des médicaments utilisés dans le monde pour lutter contre le paludisme sont de mauvaise qualité.

Ce problème grave aux proportions gigantesques sévit particulièrement en Afrique, notamment en Tanzanie et en Ouganda, où l'on rencontre le plus de cas de paludisme dans le monde.

Charys Nuhu Ugullum, chef par intérim de l'Agence tanzanienne pour l'alimentation et les médicaments, a déclaré au Global Times chinois que, malgré l'inspection rigoureuse des médicaments contre le paludisme, les contrefaçons représentent encore 20 % de part de marché, et que la plupart d'entre elles proviennent d'Afrique ou sont importées illégalement depuis d'autres continents.

Les médicaments chinois entrent sur le marché africain par le biais des programmes nationaux d'aide à l'étranger ou par voie commerciale. Ceux destinés aux marchés publics doivent être certifiés par l'OMS et être strictement conformes aux procédures de contrôle et d'examen des exportateurs et importateurs. Mohamed Ali, directeur du programme de lutte contre le paludisme en Tanzanie, a déclaré au Global Times que, dans le secteur public, le seul moyen de faire rentrer dans le pays des médicaments contre le paludisme fabriqués en Chine est de passer par les marchés publics de l'OMS et du Gouvernement tanzanien. Dans le secteur privé, les revendeurs locaux importent des médicaments certifiés par l'Agence d'État pour l'alimentation et les médicaments.

L'Afrique étant le plus grand marché pour les fabricants de médicaments contre le paludisme, Su Li, vice-présidente de Guilin Pharmaceutical, affirme que le ce marché a longtemps été accaparé par des entreprises étrangères en raison de critères d'admission élevés pour les fabricants. Cette dernière estime que les prix bas et la bonne qualité des médicaments chinois ont contribué à atténuer la pénurie de médicaments abordables en Afrique. Face à de tels enjeux, les entreprises chinoises peuvent désormais contester la domination du marché par les autres entreprises étrangères.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying, a réfuté le mois dernier les allégations selon lesquelles les producteurs chinois seraient responsables de la contrefaçon des médicaments, assurant que la Chine attachait une grande importance à leur innocuité et ajoutant que l'exportation des médicaments chinois était conforme aux pratiques internationales.

LE RÉDACTEUR EN CHEF

 

 

 

 

Pour ou contre
-Une éducation orientée vers les affaires
-Et si la Chine légalisait le mariage homosexuel ?
-L’écriture du chinois en pinyin devrait-elle être normalisée ?
-Est-il souhaitable d'accompagner son enfant à l'inscription en première année d'université ?
 
Revue de presse
-Février 2013
-Janvier 2013
-Décembre 2012
-Novembre 2012
 
Personnalités à l’affiche
-Janvier 2013
-Décembre 2012
-Novembre 2012
-Octobre 2012
 
Courrier des lecteurs
-Décembre 2011
-Novembre 2011
-Octobre 2011
-Septembre 2011
 
Éditorial
-Pour des médicaments de qualité
-Une conférence inefficace
-Le casse-tête des ouvriers chinois à l’étranger
-Intensification des manifestations antiaméricaines

 

 

 
| Qui sommes-nous | flux RSS | Contact | Publicité | Abonnements | Définir ChinAfrique comme page d’accueil |
Copyright ChinAfrique Tous droits réservés京ICP备08005356号