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La coopération entre Suzhou et l'Afrique est, au niveau local, une miniature de la coopération sino-africaine
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Vol.2 juillet 2012
Un lien ininterrompu
L'histoire africaine d'un scientifique chinois
par Liu Yanqing

 

 

CA OH LA BELLE PLANTE : Wang Qingfeng sur le terrain 

 Chercheur du Jardin botanique de Wuhan (centre de la Chine), la vie professionnelle de Wang Qingfeng est étroitement liée au continent africain, car il est responsable de la partie chinoise du programme de coopération sino-africaine « Biodiversity Conservation Studies in the East African Flora », inauguré en 2010. Depuis sa première visite en Afrique en 1996 jusqu'à ses multiples efforts ultérieurs pour promouvoir la coopération bilatérale, ce scientifique chinois a vu son lien avec le continent noir ne jamais s'interrompre et se resserrer de jour en jour.

La première visite

En 1996, Wang Qingfeng met les pieds sur le continent noir pour la première fois. À ce moment-là, il était maître-assistant à la faculté des sciences biologiques de l'Université de Wuhan, et a été envoyé à l'Université de N'Djamena, au Tchad, pour travailler comme expert étranger. La biodiversité végétale toute différente de celle de la Chine a suscité le grand intérêt de ce jeune scientifique chinois. Pendant son temps libre, il aimait beaucoup aller à la campagne pour collecter des spécimens de plantes, au Tchad et dans les pays voisins. À ces occasions, il y avait toujours des enfants locaux qui couraient après sa petite moto, lui demandaient où il allait, l'aidaient à porter son sac et à récolter les échantillons dont il avait besoin. Cette gentillesse naturelle et sincère a beaucoup touché ce jeune expert chinois et demeure jusqu'à aujourd'hui sa plus forte impression sur les Africains.

Ce séjour d'une durée d'un an a eu une influence profonde sur la vie ultérieure de M. Wang. « Si je n'étais pas allé à Tchad, peut-être ma vie aurait été différent », a-t-il confié à CHINAFRIQUE. « L'Afrique est un continent inconnu et lointain pour beaucoup de monde, mais une fois on y est allé, on développe un sentiment profond et on désire continuer à faire des choses avec le continent ». Ainsi, quand il entend dire, à son retour du Tchad, qu'un étudiant kenyan en biologie voulait faire ses études de doctorat en Chine, mais avait vu sa demande refusée par de nombreuses d'universités chinoises du fait qu'il ne parlait pas le chinois, Wang Qingfeng a décidé, après avoir discuté avec un autre professeur, de recevoir cet étudiant du nom de Robert W. Gituru à l'Université de Wuhan pour lui permettre de poursuivre ses études. « Sans connaissance personnelle de l'Afrique et ma bonne impression à propos de ce continent, je n'aurais pas décidé de m'impliquer dans cette affaire », a expliqué M. Wang.

Ces expériences personnelles auxquelles s'ajoutent des réflexions sérieuses ont amené le scientifique chinois à développer l'idée de promouvoir la coopération sino-africaine en matière des recherches sur la biodiversité. D'après lui, cela est mutuellement bénéficiaire pour les deux parties. D'une part, les scientifiques chinois ont besoin de sortir des frontières nationales pour élargir leur horizon scientifique tandis que l'Afrique, avec sa biodiversité toute différente de celle de la Chine, constitue une destination attrayante. D'autre part, les pays africains, du fait du manque de techniques et des chercheurs, ont besoin de l'aide extérieure pour effectuer ces recherches fondamentales mais indispensables pour leur développement durable.

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