
Professeur Wang Qingfeng, directeur adjoint du Jardin botanique de l'Académie des sciences de Wuhan
« Les chercheurs kényans en savent plus sur leurs plantes locales. Et très souvent, de bonnes idées pour les projets de recherche me sont venues en discutant avec eux. »

Professeur Zhu Xiangbin, président adjoint du département des Affaires internationales de l'Académie des Sciences chinoise
« Faire de la recherche scientifique conjointe est un bon moyen pour les chercheurs chinois et africains de communiquer, d'échanger des idées et de mieux se comprendre.»

Professeur Wang Xiaoming, directeur du Jardin botanique Fairylake de l'Académie des sciences de Shenzhen
« Le manque considérable de sensibilisation à l'environnement rend difficile la conservation de la biodiversité à la fois en Chine et en Afrique. J'ai constaté que de nombreux Kényans ont une conscience environnementale. C'est un domaine d'apprentissage mutuel. »

Dr. Liao Kuo, chercheur associé au Jardin botanique de l'Académie des sciences de Wuhan
« J'apprends toujours plus de mes homologues kényans sur la nature, les usages et la valeur de leurs plantes locales. Chaque visite sur le terrain nous permet de comprendre avec plus de précision et en profondeur ces plantes. »

Docteur Wan Tao, professeur assistant au Jardin botanique de l'Académie chinoise des sciences de Shenzhen
« C'est la première fois que j'ai participé à des recherches de terrain au Kenya, et je suis très impressionné par la biodiversité présente ici. Ce voyage a été très fructueux et a élargi mes connaissances. »

Dr. Salomé Gichura Ogw, directeur du programme d'enseignement supérieur du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Science et de laTechnologie
« Grâce à la recherche et à l'éducation sur la conservation de la biodiversité, nous allons toucher progressivement les gens qui vivent dans les villages, et pas seulement les personnes vivant dans les centres urbains, et, finalement, construire une société écologique. »

Professeur Mabel Imbuga, vice-chancelier de l'Université Jomo Kenyatta d'Agriculture et de Technologie
« Le Kenya fait face à plusieurs défis environnementaux en raison du changement climatique. Notre recherche sur la conservation de la biodiversité aidera à améliorer les moyens de subsistance de notre peuple, car près de 80 % des Kényans gagnent leur vie grâce à l'agriculture. »

Dr. Robert W. Gituru, maître de conférences et directeur du programme sino-africain de conservation de la biodiversité à l'Université Jomo Kenyatta d'Agriculture et de Technologie
« La nature a doté l'Afrique d'une des biodiversités les plus riches du monde, et mon rêve est que ma génération ne sera pas celle qui détruit ce cadeau, mais celle qui la préserve pour les générations futures. »

John Kamau Muchuku, maître de conférences à l'Université Jomo Kenyatta d'Agriculture et de Technologie
« La biodiversité est essentielle pour l'ensemble de l'écosystème. Si nous n'étudions pas les plantes en voie de disparition, certaines espèces animales qui en dépendent risquent également de disparaître. »

Josphat Rutere Mbogo, Université Jomo Kenyatta d'Agriculture et de Technologie
« Cette recherche conjointe est très complète. Nous voyageons à travers le Kenya, en observant toutes les plantes à différentes saisons de l'année. Ce projet a été une expérience formidable pour moi et j'ai appris au cours de chaque voyage d'étude sur le terrain. » |