
Efforts conjoints contre le smog
Global Times
13 janvier 2015
Le niveau de la pollution aux particules fines (provenant de la poussière, la suie, les gouttelettes de liquides et d'autres éléments contenus dans l'air et nocifs pour la santé) inférieures à 2,5 micromètres de diamètre (les fameux PM2,5) a diminué à Beijing de 4 % en moyenne entre 2013 et 2014, selon les données publiées en janvier par le Bureau municipal de la protection de l'environnement de Beijing.
La lutte contre le smog nécessite des efforts systématiques à long terme. La Chine a déjà lancé des campagnes de lutte contre la pollution. Mais alors que le gouvernement s'est dit déterminé à s'attaquer à la crise pour répondre à la demande du public, le public devrait également montrer sa détermination à lutter contre la pollution aux côtés du gouvernement.
En novembre de l'année dernière, lorsque Beijing a accueilli le Sommet de l'APEC, le gouvernement municipal a interrompu la production des entreprises polluantes pour assurer une bonne qualité de l'air. Malgré les inconvénients que cela a causé, Beijing avait un ciel bleu pendant toute la durée de la réunion. La population a réalisé que le soutien du public aux politiques gouvernementales était nécessaire dans la lutte contre la pollution.
Achats immobiliers à l'étranger
China Newsweek
25 décembre 2014
Devant les restrictions immobilières dans plusieurs métropoles chinoises dans le but de réduire la bulle immobilière, de plus en plus de Chinois choisissent d'acheter des propriétés à l'étranger. Les États-Unis sont la principale destination de ces acheteurs, et la Chine a remplacé le Canada comme le plus grand acheteur étranger sur le marché immobilier américain.
China Newsweek se penche sur les raisons de ce phénomène et sur ses risques. L'émigration, l'éducation des enfants et l'investissement en sont les trois motivations principales. Selon un sondage réalisé par fang.com en 2013, 44 % des Chinois ayant acheté des biens immobiliers à l'étranger avaient pour but l'émigration, 24,6 % l'éducation de leurs enfants, et 23 % l'investissement.
Les achats immobiliers à l'étranger peuvent cependant présenter des risques. En effet, les acheteurs chinois ne savent pas toujours faire la distinction entre un permis de séjour et un permis de résidence permanente, ou entre l'émigration et la naturalisation, et peuvent ainsi être trompés par les courtiers.
En outre, n'étant pas familiers des marchés immobiliers étrangers et rencontrant des obstacles linguistiques, ils peuvent éprouver des difficultés lors de la négociation des contrats. Les acheteurs chinois doivent donc être prudents dans leurs investissements dans l'immobilier étranger.
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