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Vol.2 décembre 2012
Le Parti communiste chinois s'attaque à la corruption

La lutte contre la corruption est l'une des premières priorités du Parti communiste chinois (PCC). Adel Sabry, rédacteur en chef adjoint du journal égyptien Al-Wafd, donne son point de vue sur l'action du PCC:

 En Février 2007, lors de ma visite en Chine en tant que membre d'une délégation égyptienne, j'ai été surpris de constater que le peuple chinois parlait aussi ouvertement de la corruption. J'avais eu l'impression à travers les médias occidentaux que la Chine évitait toujours ce sujet. Au contraire, le Président chinois Hu Jintao et le Premier ministre Wen Jiabao ont fait de la lutte contre la corruption une de leur principale priorité et les médias chinois rapportent régulièrement des affaires en la matière.

Je suis venu en Chine en mai, alors que le pays était sous la loupe des médias occidentaux. Time et The Economist ont récemment écrit sur les problèmes de corruption en Chine. Après mon arrivée à Beijing, j'ai trouvé que non seulement les représentants du gouvernement exprimaient ouvertement leurs opinions sur ce sujet, mais révélaient aussi les détails des affaires.

En 2007, le Bureau national de la prévention de la corruption (PNLC) a été créé pour lutter contre ce problème. Les médias ont longtemps porté une attention particulière à la corruption et ont révélé des cas majeurs. Les données provenant de l'émission PNLC de 1982 à 2011 rapportent un total de 4,2 millions de fonctionnaires gouvernementaux et du Parti sanctionnés pour corruption, parmi lesquels 465 étaient fonctionnaires au niveau ministériel et provincial. Selon Cui Hairong, directeur adjoint du PNLC, entre 2003 et 2011, plus de 42 000 fonctionnaires ont été jugés par les organes judiciaires pour des accusations de corruption, y compris Chen Liangyu, ancien membre du Bureau politique du Comité central du PCC.

J'ai abordé le problème de la corruption avec le maire adjoint de Shanghai. D'après lui, en 2010 l'inspection disciplinaire et les départements de supervision nationale ont traité  139 621 cas de détournement de fonds et corruption, réglé 139 482 cas et puni 146 517 fonctionnaires, récupérant  8,97 milliards de yuans (1,42 milliards de dollars). Selon lui, la corruption existe dans tous les pays, et il est important de punir les fonctionnaires corrompus de façon stricte en raison de leur impact négatif sur la société et l'économie. Il a également appelé les pays du monde entier à s'unir dans la lutte contre la corruption. Selon lui, la Chine a déjà signé des pactes de coopération en ce sens avec plus de 80 pays et régions.

En mai 2011, la Chine a adopté une loi visant à punir les fonctionnaires corrompus au niveau du village, dans une première tentative de contrôle de la conduite des cadres à ce niveau. Cette loi leur interdit d'avantager leurs proches en utilisant leur pouvoir administratif. Sont également surveillés  les avantages qu'ils chercheraient pour eux-mêmes dans les transferts et les locations de terrains. Si ces cadres enfreignent la loi, ils sont punis en conséquence et les gains illicites sont saisis.

La corruption apparaît sous diverses formes à travers le monde, mettant en danger l'économie d'un pays et son système politique. La lutte contre ce fléau devrait être une priorité pour tous les pays. Les fonctionnaires corrompus en Chine risquent la peine de mort, conformément à la loi, ce qui démontre bien la détermination de la Chine à éradiquer la corruption.

 

 

 

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