CONTRE:
Jin Zhen
Scol.com.cn
Demander au propriétaire de récompenser en argent celui qui lui rapporte un objet est contraire à la morale chinoise. Mais comme le matérialisme croît, admettons qu'une récompense soit nécessaire. Cependant, je ne crois pas que cet atout devrait être de l'argent, ce qui laisse croire que les gens agissent bien pour des raisons matérielles, non par vertu personnelle. De plus, comme la récompense est un geste volontaire selon la mesure, le propriétaire qui refuse de payer sera-t-il puni ?
Pourquoi ne pas offrir en récompense un certificat qui pourrait être présenté lors d'une recherche d'emploi, ou un escompte à l'achat d'une maison, etc. ? Ce serait plus acceptable et tout aussi efficace pour promouvoir la morale.
Wan Xiaoyang
Jxcn.cn
Il est universellement reconnu que rendre un objet trouvé est un acte vertueux. Dans un monde plein de désirs matériels, la vertu est une denrée rare et il est important pour le peuple de conserver cette valeur pure.
Les gens rendent les objets trouvés à cause de ce qu'il y a au fond de leur cœur, non parce qu'ils cherchent une récompense. Si c'était le cas, ils pourraient gagner beaucoup plus que 10 % en vendant l'objet trouvé. En fait, certains accordent une haute valeur aux principes de la vertu traditionnelle chinoise et rendront les objets qu'ils trouvent même s'ils sont des chauffeurs de taxis ou des balayeurs de rue qui mènent une vie dure. La règle ne promouvera pas la vertu mais ne fera que ternir la vertu des véritables cœurs nobles de la société.
Wang Jie
Employé
Je ne crois pas que la règle encouragera les gens à rendre les objets trouvés, mais ne fera que tordre la vertu. Rendre ce qui ne nous appartient pas est une question de morale. Et que le propriétaire récompense ou pas dépend de ses qualités morales et de ses possibilités financières. Mais si la loi stipule la nécessité de récompenser, même si l'on dit « volontiers », elle mettra ceux qui ne désirent pas récompenser dans une position morale désavantageuse. À cause des récompenses matérielles, le propriétaire ne sera pas reconnaissant envers celui qui rapporte son bien et considérera qu'il n'a fait que son devoir. Et la joie de celui qui trouve d'avoir rendu un bien perdu disparaîtra aussi.
Aussi, il sera difficile d'appliquer la loi. S'il s'agit de documents, de certificats ou de pièces d'identité, comment évaluera-t-on leur valeur et le pourcentage à donner en récompense ? |