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Vol.3 décembre 2013
Le dilemme des bains publics

Contre

Éditorial

du Beijing News 

La réglementation va à l'encontre des preuves scientifiques et de la loi, est représente une discrimination flagrante des personnes vivant avec le VIH.

Il a été prouvé que le VIH ne peut être transmis que de trois façons, par le sang, de la mère à l'enfant, et lors de rapports sexuels. Le virus peut difficilement survivre peu de temps après avoir quitté le corps humain, en particulier dans l'eau chaude. Par conséquent, les personnes vivant avec le VIH ne menacent pas la santé d'autrui en se baignant dans les bains publics ou des installations similaires.

En réalité, il n'est pas possible de mettre en œuvre une telle réglementation. Personne ne peut différencier les personnes séropositives. Et la loi stipule aussi que la vie privée des personnes atteintes du sida doit être protégée. Seuls les porteurs du VIH et leur famille peuvent déclarer la maladie. Dans de telles circonstances, la réglementation est inapplicable.

Les personnes vivant avec le VIH ne sont pas des criminels et ont les mêmes droits que tout autre citoyen, y compris celui de jouir des bains et d'autres installations publiques. Leur interdire d'entrer dans ces installations va à l'encontre des valeurs de la civilisation moderne, n'aide en rien la prévention et ne fait qu'exacerber la discrimination.

Contre

Wu Shuai

Beijing Morning Post

Le règlement ne va pas aider à prévenir la transmission du VIH, mais peut provoquer des tensions avec les personnes vivant avec le VIH. Leurs droits doivent coexister avec les principes de sécurité de santé publique. Quand le gouvernement prend des mesures pour protéger la santé publique, il doit aussi respecter les personnes vivant avec le VIH. Outre l'affichage de panneaux discriminatoires leur interdisant d'entrer, une solution plus tolérante serait de mettre en place une salle spéciale exclusive pour les personnes vivant avec le VIH. Cela apaiserait les craintes du public et protégerait les droits des personnes vivant avec le VIH. 

Contre

Lun Wenhui

Docteur à Beijing

On n'est pas infecté par le VIH en parlant et en mangeant avec les personnes vivant avec la maladie. Et il est également sans risque de partager un bain ou de nager avec eux. Le virus du VIH est fragile et meurt rapidement hors du corps humain. Les bains publics peuvent prendre des mesures pour stériliser l'eau. La température de l'eau accélère par ailleurs la mort du virus.

Aucun signe extérieur ne dit si une personne a le sida ou non. Seul un test peut le démontrer. Si ce règlement était mis en place, tout le monde devrait donc passer un test VIH avant d'aller prendre un bain public ?

Contre

Zhang Beichuan

Plaidoyer en faveur des droits des personnes vivant avec le sida

Le règlement est un peu ridicule. Ce n'est que lorsque la concentration du virus du VIH atteint un certain niveau et que les gens ont une plaie à vif qu'il y a un risque de transmission. L'année dernière en Chine environ 1 000 professionnels de la santé ont été en contact direct avec des séropositifs. Ils font face à beaucoup plus de danger de transmission accidentelle. Certains d'entre eux ont été involontairement piqués par des aiguilles utilisées pour des personnes vivant avec le VIH. Aucun d'entre eux n'a été infecté.

En règle générale, un sur 300 est infecté par le virus VIH par des aiguilles et environ une personne sur 500 sera infectée lors d'un rapport sexuel. La concentration du virus VIH dans l'eau des bains publics est beaucoup plus faible que dans le sang et le sperme. Par conséquent, la probabilité d'être infecté dans les bains publics est quasi nulle. Le règlement ne fera qu'exacerber la peur et la discrimination contre les personnes atteintes du sida.

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