English 简体中文 Qui sommes-nous

 

 

Accueil | Reportages de Chine | Reportages d’Afrique | Économie | Culture et Société | Services
Une décennie d'expansion économique
Numéro actuel
En Une
Table des matières
Regard sur la Chine

 

Abonnez-vous
From the Editor
Letters
Newsmakers
Media Watch
Pros and Cons
China Report
Africa Report
Exclusives
Nation in Focus
Africa Roundup
Business
Business Briefs
Business Ease
China Econometer
Company Profile
Lifestyle
Double Take
Spotlight
Science and Technology
Services
Living in China
Fairs&Exhibitions
Learning Chinese
Universities
Measures and Regulations

 

 

 

Liens
China.org.cn
Xinhuanet
Le Quotidien du Peuple
Radio Chine Internationale
Beijing Information
CCTV fr
China Daily
La Chine au Présent
La Chine Pictorial
China-Africa Cooperation Net
Jeune Afrique

 

Lumières sur

 

Newsletter   Actualités en
numérique
  Abonnez-
vous
 
Vol.1 décembre 2011
Afrokoko Roots

Premier et unique ensemble d'afrobeat de Chine, Afrokoko Roots est un groupe multiculturel réunissant 15 chanteurs et danseurs issus des cinq continents. Depuis le mois d'août, ils sont en tournée en Amérique du Nord, en Europe et en Afrique. Son leader, Sunny Dada, présente pour CHINAFRIQUE le style musical unique du groupe.

Pouvez-vous nous parler un peu de l'histoire d'Afrokoko Roots ? Depuis combien de temps jouez-vous ensemble ?

Afrokoko Roots a été fondé à Beijing il y a trois ans. Le but était de montrer au public chinois autre chose de l'Afrique que ce qu'il pouvait voir et entendre à la télé. J'espère que cela permettra aux Chinois d'apprendre des choses à propos de la culture, la musique, la mode, l'histoire africaines et bien d'autres choses encore.

Notre bande est composée de deux danseurs, deux choristes, deux percussionnistes, quatre cuivres, un clavier, un guitariste et un batteur, ainsi que moi-même en tant que chanteur, batteur et danseur, ce qui rend nos concerts aussi stimulant musicalement que visuellement. Nous avons beaucoup voyagé et nous avons donné des concerts dans de nombreuses villes chinoises comme Dalian (province du Liaoning), Hohhot (région autonome de Mongolie intérieure), et Haikou (province de Hainan).

 

Votre groupe est très multiculturel. Comment faites-vous pour continuer à fonctionner harmonieusement ? Quel message essayez-vous de faire passer ?

La musique est un langage universel. Les membres de notre groupe viennent du Ghana, du Nigeria, de l'Ouganda, du Burundi, des États-Unis, des Philippines, des Caraïbes, du Brésil, de Cuba, de France, d'Australie et de Chine. Mais nous avons une seule musique, un seul son et un seul rythme. Quand nous chantons, dansons et jouons, nous voulons prêcher l'espoir, la paix, l'harmonie et l'amour. Que nous soyons noirs, jaunes ou blancs, nous sommes un : un même esprit, une même pensée et une même âme. Il ne devrait pas y avoir de discrimination, de ségrégation ni de racisme.

 

Vous avez tourné en Europe, en Amérique du Nord, dans les Caraïbes et en Asie. Le public diffère-t-il d'un endroit à un autre ?

Ils apprécient tous nos représentations et aiment l'énergie et le dynamisme de notre musique. Sur scène, les costumes, notre performance, la façon dont nous dialoguons entre nous et avec le public rendent notre musique unique. En Europe, le public voit cela comme quelque chose de « nouveau ». En Amérique, tout le monde aspire à la grande vie, mais tout le monde n'a pas entendu la musique qui exprime la grande vie. Le meilleur public que nous avons eu, et de loin, est le public chinois. Ses réactions sont merveilleuses. Pour eux, c'est comme de la magie quand ils voient pour la première fois nos peintures faciales et nos costumes. Ils sont fous de notre groupe, et dansent, chantent et parfois jouent avec nous.

Quels sont vos projets pour l'an prochain ?

La prochaine année sera très différente. Nous aurons plus de tournées et la grande partie des revenus de notre groupe ira à des œuvres de charité. Nous pensons également produire de nouvelles choses. Par exemple, nous allons intégrer des instruments traditionnels chinois comme le guzheng (cithare chinoise) ou le erhu (un instrument à deux cordes) dans nos enregistrements. J'ai enseigné les percussions africaines et la danse partout en Chine. Nous allons ouvrir une école de musique et un studio d'enregistrement.

 

 

 

 

 

 

Double Take
 
Science and Technology
-Rising Water
-Role Reversal
-iLove iOS
-Turning the Page
 
Spotlight
-Aigo Advertising Success
-Afrokoko Roots
-A Sculpted Journey
-A South African Among Tibetans

 

 

 

 

 
| Qui sommes-nous | flux RSS | Contact | Publicité | Abonnements | Définir ChinAfrique comme page d’accueil |
Copyright ChinAfrique Tous droits réservés京ICP备08005356号